Sommaire : Cinq questions à Patrick Saint-Jean | L'actualité de la semaine | Théories et concepts | Enseignement | La recherche en pratique| Manifestations | Le livre de la semaine |
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Asti-Hebdo : Vous êtes maître de conférences à l'ENS-Cachan, Arts et création industrielle. Quel est l'axe profond de vos recherches ?
Patrick Saint-Jean : Pour moi, l'homme vit dans un espace multidimensionnel où trois dimensions en mouvement (en vie) sont fondamentales pour exister, où plutôt trois degrés de liberté où l'homme s'ingénie à créer des contraintes pour se montrer qu'il existe. Le temps n'est que la trace, l'empreinte perceptive de l'action dans sa vie. Avec les Stic, l'homme retrouve ses trois facultés : le concret, l'abstrait et le virtuel, qu'il articule dans un même dessein, un même design. La problématique est alors de savoir quand, comment et pourquoi créer ces contraintes pour mieux appréhender, percevoir et jouir de ces degrés de liberté (enfin, se faire plaisir, s'intéresser... pour être politiquement correct).
Comme point de départ à un champ d'investigation multiple, disons "Je suis perçu en complément à mon environnement par rapport à l'ensemble dans lequel je suis perçu, donc j'existe". Ce "cogito ergo sum", moins rationaliste que celui de Descartes, serait plutôt sur-rationaliste. Encore que ce "sur" est peut-être devenu "trans" donc plus égalitaire, plus horizontal et moins vertical.
Le conceptuel et l'à-plat artistique ne peuvent plus suffire, même s'ils ont leur propre existence qui nous fai apparaître des dimensions projectives et génériques singulières. L'art a beaucoup donné dans ce sens et s'essouffle. La perception usuelle du départ, aveugle par ignorance, en devient enfin de compte (ou de conte) aveugle par usure de connaissance linéarisée. L'oeuvre n'est plus un monde, une image mais un chemin tout seul, une écriture. sauf pour les vrais artistes de l'écriture qui transforment les mots en images. Mais les iconoclastes transforment tout en écriture trop souvent linéaire. Vous l'avez remarqué ?
Hebdo : Alors, nous allons vers une crise de l'image, sinon de l'art ?
P. St.-J. : Cela met en crise l'art, devenu marchand, et repousse l'artiste, bien souvent malgré lui, vers un rôle de colporteur ne vendant que l'emballage de la création réelle des autres, la réflexion sans objet, l'opacité du sujet, l'absence de projet. L'artiste est-il un entrepreneur ? Entreprendre ne serait alors qu'une dimension de l'art ? Cela est vrai pour le scientifique. Tout est question de rééquilibrage et de régulation transdisciplinaire. L'interconnexion et l'interaction les rendent possibles.
Mais ce que l'art nous a appris, c'est ce besoin de faire transparaître ces dimensions projectives et génériques singulières et de les révéler pour compenser une quête perpétuelle de cette troisième dimension : l'autre, opaque, transparent, réflexif, relationnel.
Là encore, comme pour la musique à partir du début du vingtième siècle
(dodécaphonique, sérielle, etc.., Iannis Xenakis l'avait alors dénoncé
en avant propos à ces musiques formelles), la différence entre
- la forme d'écriture devenue traditionelle "lente", à faible mouvement,
très linéaire et
- la perception actuelle, spatiale, en mouvement, que reflètent les médias,
est trop grande, trop forte pour que le regardeur en perpétuelle perturbation,
laissé tout seul dans sa démarche oculaire, ne reste pas sur sa faim et
meure d'épuisement ou de lassitude.
Si trop de sens fait perdre la sensibilité, peu de sensibilité par redondance de sens fait perdre le sens. En fait les démarches suivant les techniques utilisées, pourtant variées, n'engendrent qu'une même esthétique qui aveugle et indiffère le regardeur, car la trace en lui ne laisse plus d'empreinte vivante. Elle n'est plus qu'une mémoire et non un souvenir qui lui permette de renaître et non de se remémorer, donc de le confiner dans le risque de "re n'être", ne pas être une fois de plus, en fait de n'avoir jamais vraiment existé. Le mouvant de l'oeuvre est un questionnement plus qu'une réponse. Quelle vie donner à l'oeuvre qui ne serait peut être plus éternelle ? Le souvenir est au passé ce que l'imaginaire est à l'avenir, une source de vie et de création, un potentiel humain actualisable, un virtuel mental que le virtuel numérique réactualise, nous dérangeant dans nos habitudes, même parfois très professionnelles, remettant en cause nos propre acquis.
Alors "apprendre à apprendre" source d'évolution, d'adaptation et de devenir, des années 70, a été et est plus que jamais notre "planche de salut", une arche de Noé, un radeau de la Méduse peut être. Encore nous fallait-il des outils pour mieux l'engager dans une vie quotidienne. Les nouvelles technologies ne font que redonner corps, mais sous un autre jour, à des idées qui avaient été lancées par les philosophes : Bergson d'abord, puis et surtout Deleuze et Guattari plus récemment, mais surtout rendent praticables des démarches impossibles ou très difficiles dans les autres arts.
Créant également un art différencié spécifique réparti interconnecté et distribué dans un unimédia de traitement, un multimédia d'expression et un pluri-média de réalisation (les arts informatiques) elles amplifient le potentiel de création par les articulations et les interconnexions entre tous les arts. Ce qui fait avancer la recherche et évoluer les idées sans véritable fracture sociale préjudiciable à l'homme plus faible que les institutions.
D'ailleurs ceci semble vrai pour toutes les disciplines pour ce qui est de l'invention et de la découverte, voire simplement de la pratique et de l'évolution des théories. Pas seulement l'intelligence collective de Pierre Lévy, mais l'intelligence collaborative et surtout coopérative, peut faire émerger des profils transdisciplinaires ou multidisciplinaires, s'ajoutant au pluridisciplinaire (chantier plus classique ou chaque corps de métier intervient isolément), par la prise de connaissance, le déroulement évolutif et le suivi de projet dès le départ (avec facilité de jonction intermédiaire) assistés par les Stic.
Quoiqu'elles puissent tomber elles-même dans ce même travers comme les oeuvres évolutives et interactives à programmation ou scripts simplificateurs, les nouvelles technologies numériques, qui ont déjà plus d'un demi-siècle d'évolution dans le design et l'ergonomie, il faut bien le dire, contiennent en elles tant de connaissance et d'intelligence à la fois de plus en plus fonctionnelles, plastiques et discrètes que l'artiste tout autant que le regardeur peuvent s'y retrouver, en cherchant à mieux comprendre la composition de l'oeuvre en relation avec son créateur par le jeux des interactions et de la navigation dans l'oeuvre. Une façon de voyager dans la pensée sensible de l'autre pour mieux le comprendre, apprendre et entreprendre. Il y a de la science dans l'art; Mais pas que de la science.
Des référents, des points de vues différents, des éclairages divergents sont indispensables pour une mise en relief, en volume, en scène ; pas seulement en cadre vie mais en vie tout simplement. Cette vie humaine à la fois singulière et plurielle est l'expression d'aujourd'hui qui malheureusement pour certains n'est plus qu'une question de survie. L'art joue également un rôle important dans cette survie, une révolte interne qui refuse et exprime le refus de non vie. Le monde a changé tout en restant le même. Et le monde doit encore changer pour découvrir d'autres mondes.
Hebdo : L'évolution des Stic influe-t-elle sur ce changement, nous ouvre-t-elle vraiment sur d'autres mondes ?
P. St.-J.Non seulement le virtuel numérique intervient avec son histoire des arts et des sciences informatiques, mais il s'amplifie par les Stic avec l'Internet et toutes ses dimensions humaines et sociales. Et tout peu changer. Pas forcément d'ailleurs. Seulement si on le veut. Et gare aux "big brother" qui protègent mais asservissent.
Le virtuel peut-il alors remplacer l'utopie sans borner l'espace de création ? Il ne s'agit plus en effet que le rêve soit un jeu de poker où le moins menteur, le moins bluffeur se fasse arnaquer. Le colporteur devrait-il se contraindre à la théorie du camelot : toujours démontrer par lui-même la faisabilité de ses dires. Gênant non ? Surtout dans un marché mondial. Le local aurait-il une importance aussi grande que le global pour mieux réguler le total (ou le totalitarisme)?
De façon causale, pour mieux définir son dessein, par besoin d'hégémonie, l'écriture, le dessin et la construction se "feront toujours la guerre" pour être le premier ou le seul à structurer l'esprit. De façon architecturale, spatiale chacun est nécessaire pour développer et faire vivre l'humain dans ces trois dimensions.
Les Stic nous font redécouvrir aujourd'hui le virtuel numérique mais aussi l'articulation avec les autres virtuels (chimique, optique, holographique, mental), après un siècle qui fut dominé par une lutte d'idées manichéenne entre l'abstrait spiritualiste et religieux, et le concret matérialiste tayloriste et prolétaire (les "gueux de la gueuse royaliste" en quelque sorte), certes une machine binarisée à générer le progrès et à broyer de l'humain dirait les négativistes, mais où va émerger et évoluer l'intellectuel pensant en opposition à l'ouvrier travailleur dans les luttes de pouvoir et de contrepouvoir mais unis ou contraints laïquement à un bien être démocratique.
Le modernisme est en quête de pureté, le post-modernisme est en quête de sensibilité dans l'impureté, cet artefact singulier qui met en abîme la création comme catalyseur poïétique.Mais il n'arrive pas à enclencher le processus de la modernité, car trop de puretés aveugle la perception aussi bien que trop d'impuretés. Là encore un cycle binaire d'alternance se met en place (le pur dans l'impur et l'impur dans le pur) cassant la démarche et le projet, l'actualisation n'étant plus qu'un retour prévisible sans passion, un automatisme de production sans vie, sans expérimentation débouchant sur de nouveaux espoirs.
La période que nous vivons est intéressante car elle induit une troisième phase génératrice de progrès différencié et réflexif : le transmodernisme, où pureté et impureté se cotoyent, tout n'étant pas seulement une question de dosage quantitatif mais également de compositon qualitative d'éléments microcomposés, intervenant dans une macro composition, le niveau de meso composition pouvant alors se déplacer plus ou moins fractalement.
Quand j'ai commencé à faire de l'informatique, à la fin des années 60, les machines nous donnaient du plaisir à travailler dans l'abstrait. Bien sûr il fallait se battre avec leur matérialité (celle de l'unité centrale, du centre de calcul, celle des supports perforés, bandes ou cartes). Mais, avec leur périphérie très pauvre, elles concentraient l'attention sur la programmation et l'abstraction scriptale qu'elle comporte.
Les années 70 nous ont permis d'aller plus loin dans la conception du matériel passant par le conversationnel et le semi-conversationel, le semi-automatique et l'automatique. Déjà concept et matière allaient bien ensemble avec la mini-informatique installée en atelier ou en laboratoire expérimental, pour déboucher vers l'image et l'interactivité que les années 80 ont mis en avant avec la microinformatique puis les systèmes communicants des années 90.
Peu à peu, la périphérie s'est enrichie, avec le crayon graphique, la souris, les gants et les casques de la réalité virtuelle, les projecteurs de nos "caves" d'aujourd'hui. Le virtuel commence à faire vraiment sentir sa puissance comme dimension, une dimension jusqu'ici pratiquement exclue, même si mai 68 avait voulu mettre "l'imaginaire au pouvoir" sans en avoir les moyens.
Maintenant notre siècle commence avec l'imaginaire appliqué, celui qui se réalise. Les jeunes veulent du concret et pensent maintenant l'obtenir par le virtuel. Mais celui qui a compris qu'il devait tout d'abord se donner la capacité du virtuel (des potentialités actualisables) atteindra plus facilement (ou plus agréablement) son but.
Les années que nous vivons, celles que nous allons vivre, remettent sur le même terrain le texte et l'image, l'image au sens large (vidéo, son, robotique). Entre le corporel et le rationnel, renaît l'âme (anima, sensorium) aussi bien comme "animalité" que comme "soul". Ainsi se renforce la trilogie, ou plutôt la trinarité humaine (concret, abstrait virtuel) mais aussi... le goût de vivre. Pour un scientifique, dont la métaphysique n'est le domaine, la question est impossible sans passer par le virtuel numérique, la simulation. Parallèlisme et automatisme sériel commencent à y donner des outils d'appréhension de la vie artificielle, poussant plus loin encore les problèmatiques de l'intelligence articielle, mais raprochant l'humain de ses préoccupations. Ce qui interpelle l'artiste également. Le design de cyber espaces comme de mondes réels devient alors son champ d'expérience.
Hebdo : Mais comment mener des recherches dans des voies aussi larges ?
P. St.-J. : J'en ai posé les prémisses à la fin des années 60 avec les trans-combinaisons, et les bases théoriques au début des années 70, avec une modélisation mathématique fondée sur la théorie des ensembles, la théorie des catégories et les pré-topologies des espaces finis. Puis les années 80 m'ont conduit par apport plus personnel à la notion de texturologies en hommage à Jean Dubuffet, et au design du concept multimédia en amphithéâtre interactif à immersion pour l'enseignement, la création et le spectacle de la connaissance dans les années 90.
Quand à l'expérimentation, essentielle à toute démarche scientifique, elle se réalise dans mon travail de chercheur-enseignant-artiste, dans un environnement qui correspond bien à ces orientations, au départ en musique et traitement du signal (Cnet, Université de Paris I), en imagerie spatiale (Numélec, Cnes), biomédicale (CEA CEN-FAR, Université de Paris XIII, Silvius Laboratoria de Leiden) et artistique (Arts plastiques et sciences de l'art en psychophysiologie de la perception, Université de Paris I), et se continue à l'Ecole normale supérieure de Cachan, département "Art et création industrielle" (malgré un intégrisme socio-culturel fort qui se refuse encore au virtuel dans toutes ces dimensions).
La discipline du design et de l'architecture est le terrain qui convient à mes expérimentations multi-dimensionnelles, à la "polyagogie" chère à mon maître Iannis Xenakis. Ces arts de synthèse, complétant l'analyse et le traitement de l'information artistique, me permettent de développer le "design du concept", une articulation forte qui réunit ou plutôt articule, interconnecte et interactive le dessin, l'écriture et la production.
Le design du concept est une façon de chercher des espaces de proximités relationnelles sans tomber dans des carcans. sans doute comme au départ cette volonté initiale de chercher une continuité entre un monde fait de classes et d'ordre (topologie) et un monde fait de réseau de réseaux et de texturologies (prétopologie) où le voisin de mon voisin n'est pas toujours mon voisin, laissant ainsi le droit à la différence sans soumission. Une façon d'interpeller la science en réduisant l'opposition entre les sciences dures (mathématiques, physique) et les sciences "molles" (systémique) par l'ouverture à des sciences souples et plastiques que permettent les notions de réseau de réseaux.
En pratique, tout cela s'intègre dans le projet "Univers, cités virtuelles interactives" (UCVI), avec son environnement coopératif et pédagogique appuyé sur une stations Apple G4 avec quatre cartes graphiques, dont j'ai montré les possibilités à Asti'2001. Ce projet est encore à un stade très expérimental faute de prise en considération dans un programme européen. Mais chaque expérimentation avec public est une étape fondamentale qui doit mener à des contenus de plus en plus consistants et plastiquement intéressant.
Hebdo : Univers, cités... le jeu de mots n'est-il pas un peu facile ?
P. St.J. : Vous pourrez vous convaincre sur mon site personnel que le jeu de mots débouche effectivement sur des réalisations, et plus encore sur un travail pédagogique en coopération avec des élèves et des artistes comme Olivier Laveau ou Claude Genzling ou le groupe du Moulin de l'image et les ateliers malouins CyberBulle du Quai des bulles (bandes dessinées et images projetées) et prochainement à Saint-Brieuc avec les infirmes cérébraux-moteur (ICM) dans l'Odyssée 2001 de la communication du 14 au 17 juin.
Ce jeu de mots, facile mais communicatif, me permet d'associer trois concepts clés : l'universel dans l'univers évoqué par l'université, la localité au pluriel exprimée par les cités virtuelles et la globalité comme l'interconnexion relationnelle des localités différenciées en interaction réseau. La philosophie, la pensée scientifiques et artistique, dans toutes ses dimensions humaines, reste un moteur polyagogique de ma vie professionnelle.
Le virtuel numérique perturbe nos idées traditionnelles, par exemple les relations classiques entre le texte et l'image. Et c'est tant mieux car, culturellement, l'image comme le mot n'est pas qu'une photo, c'est un cinéma, une mise en scène, un mouvement, un éclairage, une prise de vue, un geste. Et la photographie est plus qu'une image, c'est sa propre image. A notre époque l'analphabétisation comme l'anatechnologisation est un handicap majeur qu'il faut combler par la pratique et surtout la praxis, où théorie et pratique ne font qu'un.
Mais n'est-il pas merveilleux de vivre de telles périodes ? Elles nous permettent de réfléchir, de remettre en question les positions établies, d'implémenter de nouvelles générations d'oeuvres et, finalement, dans l'interaction avec les machines numériques garder l'interaction humaine, comme dans le dialogue avec les étudiants mais également dans l'expérimentation collective, de poursuivre notre découverte de l'homme. Un homme texturologique semble-t-il ?
Globalement, on serait prêt de 100 000 licenciements dans le secteur, note 01net, faisant la synthèse de plusieurs sources américainses.
Pire (si l'on peut dire), le nombre des internautes américains est en baisse, toujours selon 01net.
Et cela ne va pas mieux en Europe, avec les mauvais résultats par exemple de British Telecom, selon un article d'Internet Actu: " Ca va mal pour l'opérateur historique britannique. Privatisé dès 1984, l'entreprise a ensuite été présentée comme un modèle, multipliant les participations internationales et les bons résultats financiers. Mais les enchères UMTS européennes semblent avoir sonné le glas de cette période faste." (J.-C. C. © Internet Actu 10/5/2001).
Cela n'arrête pas pour autant la recherche en Stic; Par exemple chez IBM sur les cristaux liquides, ou sur le commerce électronique, où Accenture, PTC et Sun Microstems viennent de s'allier pour proposer des solutions (c'est à dire des produits et services, en jargon e-business).
Dans le même ordre d'idées, Bull et Sherwood International s'associent en Europe pour fournir une infrastructure de commerce électronique au marché de l'assurance.
En effet "... les euro-députés ont écourté leur visite outre-Atlantique devant le refus des autorités américaines de les recevoir. Pourtant, tout avait été prévu de longue date afin que le panel de parlementaires puisse rencontrer des responsables de la CIA, de la NSA et du ministère du Commerce." indique Internet Actu du 11 mai, qui fournit l'URL du site de la commission temporaire européenne sur la question, et qui doit fera le point le 15 mai prochain.
Sur le même sujet, on lira aussi Transfert Net".
Pour les amateurs de sigles ou simplement les professionnels concernés, citons le communiqué : "Delphi 6 est le seul environnement RAD qui supporte pleinement tous les standards majeurs émergeants : XML, SOAP, WSDL, et XSL; eux-mêmes, supportant les plates-formes émergentes de services Web telles que Microsoft® .Net et BizTalk, et ONE de Sun Microsystems® apportant l'évolutivité et la fiabilité dont les entreprises et les développeurs ont besoin... Les nouvelles fonctionnalités de Borland Delphi 6 couvrent : BizSnap, la plate-forme de développement RAD de services Web pour simplifier l'intégration business-to -business en créant aisément des services Web et des connexions XML/SOAP. WebSnap, le framework de développement d'applications Web basés sur des composants qui supporte les serveurs d'applications Web majeurs, tels que Apache(tm), Netscape® et Microsoft Internet Information Services (IIS). "
(NDLR: Maintenant vous avez le droit de reprendre votre respiration et même, pourquoi pas, de visiter le site de Borland/Delphi).
C'est la Diffusion Paris 7 qui signale cette orientation du ministère de l'Education nationale (Enseignement supérieur). Elle se précisera en septembre sur une rencontre sur ce thème.
Au Journal Officiel, l'arrêté d'ouverture des concours.
Sur le même site, des informations générales sur les concours de chercheurs du CNRS
Des procédés plus perfectionnés sont commercialisés notamment par la société américaine cybergroupnetwork.com, avec son système, eSnitch device, qui permet de suivre son ordinateur à la trace grâce à un émetteur, d'effacer une partie des fichiers et de transférer les données par un système sans fil. D'après O.D. © Netlocal Actu 12/04/2001
La SFsic souhaite pouvoir les rassembler les données avant le 1er juin 2001. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez contacter Sylvie Bourdin, Hélène Cardy ou Catherine Loneux .
On peut se procurer cette publication sur le site de la Documentation française.